Les mobiles
L'Atelier d'Enzo dans les pas d'Alexander Calder
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Fildeferiste
Cheval de 3 - 50 x 30 x 43 cm Ht
Arbre mobile - 50 x 7 x 40 cm Ht
A la pêche - 40 x 20 x 26 cm Ht
La feuille percée - 100 x 12 x 38 cm Ht
Le cadre - 45 x 8 x 39 cm Ht
L'oiseau nu - 39 x 20 x 16 cm Ht
Arbre à Smarties - 40 x 15 x 28 cm Ht
l'Art est au sol - 72 x 16 x 40 cm Ht
Lamello plume - 82 x 12 x 35 cm Ht
Verres de mer - 46 x 11 x 28 cm Ht
Manège de verres de mer - 27 x 34 x 29 cm Ht
Les sculptures d’Alexander Calder (1898-1976) ont le pouvoir magique d’être aussi simples d’apparence que complexes de l’intérieur. Nées de la curiosité et de l’ingéniosité de cet artiste américain, un grand nombre de ses sculptures sont présentées à travers le monde afin que le public puisse apprécier le cheminent de la quête de Calder, de la figuration à l’abstraction au fil de sa carrière, de son arrivée à Paris au cœur de l’Avant-garde à son succès international en revisitant les moments clés d’une carrière qui a su évoluer tout en conservant une ligne aussi simple que les modestes fils de fer avec lesquels il a commencé a révolutionné la sculpture et alléger l’écriture d’une langue en pleine renaissance.
Celui qui a révolutionné le langage de la sculpture et sa relation au public était surtout fasciné par les fils invisibles qui lient les formes, les couleurs et les ombres, de l’immobilité de leur apparence à leur mobilité cachée. L’interaction dynamique entre les éléments visibles et invisibles se décline entre force et légèreté, faisant vibrer autant la fibre enfantine de Calder que sa fascination pour le génie mécanique qu’il a étudié sans oublier sa curiosité pour les lois secrètes de l’univers. Avec les sculptures de Calder, ce qui est n’est déjà plus, puisque chaque oscillation d’un élément met en mouvement délicatement tout le reste de la fragile composition qui n’est jamais terminée mais laisse la trace de son mouvement le temps d’un regard.
Source : Karine Chevalier / london-by-art, publié le